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, le il y a 2 années et 9 mois.
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De fait il est reproché à la BD et à son auteur les points suivants :
1) Ce Monsieur ne croit pas aux énergies renouvelables comme l’éolien et le solaire alors que cela se développe beaucoup dans le monde pour un prix largement inférieur au nucléaire
2) Il prétend que le nucléaire en cas d’accident, celui-ci reste local. CF Tchernobyl et Fukushima. Les zones inhabitées suite à l’accident sont conséquentes.
3) Il reconnaît qu’il n’est pas un scientifique lui-même, bien que polytechnicien, mais pour être reconnu comme scientifique il faut avoir fait relire ses travaux à d’autres scientifiques.
4) On le taxe surtout de défenseur du nucléaire, les écologistes sont accros sur ce point.
Pour votre information voilà les articles que j’ai trouvé sur ce sujet :
Le Monde : https://www.lajauneetlarouge.com/le-monde-sans-fin-de-jean-marc-jancovici/
Les écologistes les plus virulents
https://ladecroissance.xyz/2021/02/09/critique-de-jancovici-par-jean-luc-pasquinet/
http://www.regards.fr/tribunes/article/tribune-jean-marc-jancovici-une-imposture-ecologique (avis sur le shift project)
https://reporterre.net/Jean-Marc-Jancovici-Je-ne-suis-pas-un-scientifique ceci est un média indépendant écologiste qui ne fait pas de cadeau à JM Jancovici
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Le Monde sans fin, de Jean-Marc Jancovici et Christophe Blain (éd. Dargaud), sorti au dernier trimestre 2021, arrive en tête avec 514 000 exemplaires achetés en 2022. L’année dernière, c’était déjà une bande dessinée qui s’était illustrée à la tête du classement. Mais il s’agissait d’Astérix, fleuron national du neuvième art. Le cas du Monde sans fin est plus difficile à analyser. Alliance d’un dessinateur renommé et de l’inventeur du concept de bilan carbone, le livre avait de bonnes raisons de rencontrer un public. Il n’a pas pour autant emballé Télérama, qui écrivait à sa sortie : « S’il a le grand mérite de mettre les choses à plat, de passer au crible des data des sujets aussi passionnels que ceux des énergies renouvelables […] et des centrales nucléaires […], le discours de Jancovici reste celui d’un ingénieur. Avec le risque d’être catégorique, souvent péremptoire, parfois simpliste, voire de flirter avec l’ultracrépidarianisme, cette propension qu’ont certains spécialistes à penser qu’ils font autorité dans d’autres domaines que le leur. »
La tendance a pu énerver d’autres observateurs : ces dernières semaines, de faux représentants de la maison d’édition Dargaud ont démarché des librairies afin d’insérer dans l’ouvrage un texte contestant les thèses défendues par l’auteur, a révélé le site Actualité. L’erratum assure notamment : « Jean-Marc Jancovici a maintes fois démontré son formidable talent de vulgarisateur scientifique. Nous devons néanmoins reconnaître son manque de compétences flagrant en sciences humaines. Cette lacune lui fait réduire toute lecture sociale et économique à son point de vue d’ingénieur, alors que le développement technologique ne fait pas tout. » On reproche plus généralement à Jancovici « des informations souvent tronquées ou approximatives, voire mensongères » – en témoigne, encore, une tribune signée par plusieurs collectifs et associations, publiée avant même la sortie du livre sur Reportere.
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