Généalogie : les BELOTEAU de Montreuil-Bellay

Cet article, préparé par Yves Belotteau nous parle d’une famille dont le nom est assez proche du sien : les BELOTEAU de Montreuil-Bellay (49).

Une famille proche de la noblesse, qui s’est constitué des Blasons et qui est devenue adjoint au maire de Nantes.

Voici la généalogie d’une famille de notables du Maine-et-Loire qui a vécu de 1550 à 1750 à Montreuil Bellay (49) puis à Nantes, avec des personnages illustres :

Tout d’abord Antoine BELOTEAU, Sénéchal (Maire) de Montreuil Bellay. Il fut anobli par Henri IV en 1592 pour services rendus à la conservation de la ville. Il s’est choisi un blason: « d’azur à un lion d’or au chef de gueules ».

François BELOTEAU, neveu d’Antoine, né en 1588, prêtre curé et chanoine à Montreuil Bellay. Son portrait figure sur le tableau peint en 1641 que l’on peut voir dans l’Eglise de Montreuil Bellay. Le blason des BELOTEAU figure sur ce tableau en haut à gauche.

René BELOTEAU (1657-1711) marchand à Nantes, Banquier, puis Echevin (adjoint au maire), Sieur de Beaulieu. Il se fit construire son propre blason: « de gueules à 2 pals retraits d’or, accompagnés en pointe de 2 rocs d’échiquier d’argent ». 

Yves indique avoir retrouvé le fac-similé de l’inscription de ses armoiries au Grand Armorial de France de Charles d’Hozier en 1696.

Lire l’article complet en format PDF avec les photographies.

Si vous vous posez la question du lien entre cette famille et celle de Yves, voici sa réponse :

Je n’ai pas trouvé de lien entre cette famille et la mienne ! (dommage!)

Le 2ème T est apparu en 1881, lors de la naissance de mon grand-père paternel. Alors que tous les autres s’écrivent BELLOTEAU (j’en ai plus de 1000), le père de mon grand-père, en déclarant la naissance à la mairie, s’est trompé et a signé BELOTTEAU.

D’après ma grand-mère qui me l’a rapporté, il avait trop arrosé la naissance de son fils au cognac et au pineau !

Depuis, cet acte a « fait foi »: on s’y est référé pour la naissance de mon père, puis la mienne, mais nous ne sommes qu’une dizaine à s’écrire comme ça.

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